Moins de 2 calories par pastille...

vendredi 8 août 2008

Bon, ben voilà, ça, c'est fait...


Bon, en ce moment, faut bien reconnaître, je suis monomaniaque : je n’arrive pas à penser à autre chose qu’à cette histoire avec… tiens, comment je pourrais l’appeler ? L’homme des Vosges ? (non, trop rural) L’homme-qui-aime-les-rayures ? (non, un peu long) Dexter ? ah oui, ça c’est pas mal… faut connaître le dessin animé Hamtaro, et c’est là qu’on se rend compte que ma culture est quand même super bas de gamme, mais je dois reconnaître qu’il y a une certaine ressemblance…. Ah ben, je vous l’avais dit, que c’était pas Brad Pitt, hein.

Bon, bref, disons que Dexter et moi sommes passés à un niveau supérieur d’intimité, si vous voyez ce que je veux dire (et vous voyez très bien ce que je veux dire… sauf toi là bas au fond, mais ça m’étonne pas, va…)

En même temps, je sais qu’en racontant ça je m’expose à des commentaires fort peu élogieux de la part des (rares) personnes qui passent sur ce blog. Blog qui, à l’origine, (et je le signale juste en passant, ne vous sentez pas visés, hein, les 3 qui passent ici) devait seulement me permettre de raconter un peu ma laïfe sans pour autant être obligée de me farcir d’écrire un journal intime, qui en plus pourrait être trouvé par des mains étrangères et néanmoins non autorisées…
Vous me direz, ici c’est pareil, je prend le risque d’être lue par quelqu’un qui me connaît… en même temps, ce serait vraiment pas de bol, hein… je connais pas des masses de gens, et sur les millions de lecteurs de blog, il faudrait que ça tombe sur moi d’être lue par quelqu’un de mon entourage ?
Ouais, non, en fait je suis dingue, j’ai aucune conscience du danger…

Oui, donc, je disais, avant d’être grossièrement interrompue par moi-même, ben ouala, quoi, ça y est, c’est fait… que d’enthousiasme, me direz-vous… nan mais je suis pas du genre à frétiller de joie comme un petit animal devant son susucre, faut pas vous attendre à ça…
En fait, le passage à l’acte pose plus de questions qu’il n’en résout.
Passque bon, moi je pensais qu’une fois que ce serait fait (oui, là, j’avoue, j’avais assez peu de doutes sur le fait que ça se ferait un jour ou l’autre, hein) eh ben… on serait contents tous les deux (enfin lui, chais pas, en même temps c’est un peu moins important que moi, non ?), et puis on reprendrait nos vies tranquilles chacun de notre côté.


Mais qu’est-ce que je raconte ?
Ouais, bien sûr, à qui je veux faire croire ça ?

Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d’alu, aussi… Pfff, bien sûr que je savais que j’aurais envie de plus que ça…
Bien sûr que je le savais que de partager un moment avec lui me donnerait envie d’en partager d’autres…
Et bien sûr que je le savais que je serai complètement à l’ouest, après…
Ceci dit, je dois honnêtement avouer que je ne m’attendais pas à ce que ce soit si bien… Il a des ressources cachées, ce jeune homme, on dirait pas comme ça…

Donc.
Voilà.
Bravo, hein.
Résultat des courses : je sens que je vais morfler, et grave en plus. Je le vois arriver, c’est gros comme une maison, et je fais semblant de ne pas m’en apercevoir (mais c’est une ruse… qui marche pas, ok)
Je vais bien en baver pour me remettre de ça, quand il sera clair qu’on ne peut absolument pas continuer…
Parce que c’est clair.
Très clair, même.
Y’a aucune chance.
No way.
Rien.
Nada.

Merde.

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