Moins de 2 calories par pastille...

lundi 25 février 2008

J'voudrais bien... mais j'peux point...

ça c'est ce que m'a chanté mon joli ex-collègue vendredi soir, et je dois avouer que j'ai un peu de mal à l'encaisser.

Je vous fais le topo: on est vendredi, il est tard dans la nuit (en fait on est plutôt samedi matin, hein), nous avons passé une très bonne soirée avec mes ex-collègues et néanmoins amis, ti punch, resto, bar sympa, on se retrouve chez chez la Blondasse, on se cherche gentiment, tout va bien quoi...

Et là, je fais une allusion (mais discrètement hein, je suis pas une brute non plus) sur un éventuel mélange de langues de lui et moi... Et là, tout ce qu'il trouve à me dire c'est "ah ben tu comprends, en ce moment ma vie, c'est compliqué, C'EST PAS L'ENVIE QUI ME MANQUE, mais bon je peux pas"...

Bon, je me suis pris un vent, c'est pas la fin du monde, on est d'accord, mais c'est la manière de faire qui me laisse perplexe. Faut croire qu'une nouvelle coupe de cheveux ne fait pas tout...
Et puis finalement ce n'est pas une mauvaise chose parce que ma vie à moi est un peu compliquée aussi.

Mais bon quand même, il m'a dit non.

Merde.

Bien le bonjour dans votre vie sentimentale (j'espère qu'elle va mieux que la mienne)

vendredi 15 février 2008

Lamentable

Il est 19h15, je suis toujours au bureau (je suis censée finir à 17h30)

Ben oui, mais Il ne sera pas là demain, ni la semaine prochaine (foutues vacances), et je ne sais pas quand je le reverrai.

Alors j'attend qu'il parte pour le croiser sur le parking (on sait jamais, hein)

Pas la peine de me jeter des pierres, je sais que je suis lamentable (c'est même écrit dans le titre, c'est dire que je m'en rends compte).

En plus je commence à avoir la trouille, toute seule dans les bureaux...

jeudi 14 février 2008

OH..........MON..........DIEU

Beh voilà je me doutais que ça arriverait, depuis le temps que je me fais des films dans ma tête à moi...

Cette nuit, j'ai rêvé que mon directeur m'embrassait sur le parking du boulot.
En fait, voyez-vous, tout est de la faute du cheval. SI.

Je sors du cravail, un peu tard, la nuit tombe (ok la nuit tombe tôt dans la vallée, mais quand même) et là, ben y'a une fête foraine sur le parking, avec plein de gamins qui courent partout. Et pis y'a aussi un tut pitit, tut pitit cheval. Mais moi j'ai peur des chevaux (et des araignées mais ça n'a rien à voir) (et aussi un peu des gamins mais passons), alors je crie un peu, et je recule tute apeurée. Et là y'a mon beau directeur qui me reçoit dans ses bras et me protège du méssant cheval. Alors pour le remercier, moi, gentille et pas farouche je lui mets ma langue dans sa bouche et on se mélange avec joie et allégresse.

Y'a juste un truc que j'ai pas compris, c'est quand il m'a dit "ok, mais ma chemise ne doit pas sortir de mon pantalon", là j'avoue c'est un mystère.


Je sais bien, c'est cliché à mort, et totalement stupide comme rêve, mais depuis ce matin, c'est fou comme je l'ai croisé souvent, mon directeur. Par un pur hasard, bien entendu. J'ai aussi tenté l'oeillade glamour dans les escaliers mais là moi je dis halte, trop dangereux, à pas grand chose près je me retrouvais la gueule explosée en bas, j'aurais eu l'air maline dans l'ambulance "z'ai rêvé de vous Moffieur le Directeur".



Beh ouala, une vie trépidante que j'ai, y'a pas à dire...


Sinon, je sais on pourrait croire que c'est abandonné ici, mais vous voyez bien que non.



Bien le bonjour dans vos rêves,